Brian Jones et les Rolling Stones

Documentaire réalisé par : Nick Bromfield, scénario : Nick Bromfield, Marc Hoeferlin, produit par : Dan Braun, Josh Braun, Nick Bromfield, Kyle Gibbon, Shani Hinton, Marc Hoeferlin, Simon Orman, photographie : Tristan Copeland, Marc Hoeferlin, Sam Mitchell, montage : Marc Hoeferlin, Jan Lefrançais - Gijzen, musique : The Rolling Stones, distribution : Nick Bromfield, Brian Jones, The Rolling Stones, Linda Lawrence, Muddy Waters, Andrew Loog Oldham, The Beatles, Marianne Faithfull, Anita Pallenberg, ..., 1h38mn, (2024).

Influencé par les grands bluesmen Afro - Américains le membre originaire, visionnaire mais oublié Brian Jones fait l'objet d'un documentaire. Le réalisateur Nick Bromfield s'appuie sur un montage rigoureux d'archives inédites pour raconter les déboires de ce génial instrumentaliste dont les membres des Rolling Stones parlent peu mais qui continue à les obséder. La vie de Brian Jones n'a pas toujours été facile. Issu d'une famille rigoriste il est renvoyé de l'école en juin 1959 après avoir mis enceinte une camarade de classe. Il erre à travers l'Europe jusqu'en novembre 1959 puis participe à différents orchestres à Londres ou ses talents de guitariste sont remarqués. En 1962 Mick Jagger et Keith Richards viennent écouter par hasard Brian Jones et cette rencontre débouche sur la première mouture des Rolling Stones sous sa direction. Comme l'indiquera le bassiste du groupe Bill Wyman il a créé le groupe en s'inspirant d'une chanson de Muddy Waters nommée ''Rollin Stone'', a choisi les membres, a choisi la musique et a trouvé les concerts. Cependant l'arrivée d'Andrew Loog Oldham comme manager du groupe en 1963 va sonner le début de la fin. Un groupe de rock fonctionne comme un utopie ou une tribu primitive qui se nourrit de l'affrontement de ses différents membres. Dans l'univers impitoyable de l'industrie musicale les vaincus sont écartés puis disparaissent. Le manager Andrew Loog Oldham impose le duo Mick Jagger et Keith Richards à la tête des Rolling Stones. Les compositions signées Brian Jones sont ignorées au profit de celles écrites par le duo. Cet ostracisme suscite de l'amertume chez Brian Jones qui se réfugie dans la drogue et l'alcool. L'instrumentaliste inspiré d' "Aftermath" (1966) et de "Their Satanic Majesties Request" (1967) n'est plus que l'ombre de lui - même lorsqu'il se produit avec les Rolling Stones pour ce sera sa dernière prestation au Rockn' roll circus show de 1968. Absent des studios d'enregistrements, poursuivi par des problèmes judiciaires liés à des paternités multiples et souvent sous l'emprise de la drogue Brian Jones est au fond du trou. Les membres de Rolling Stones décident de se séparer de lui en juin 1969 et un mois après il disparait de façon énigmatique (accident, assassinat) à l'issue d'une soirée arrosée. Mick Jagger lui rendra hommage lors d'un concert à Central Park (New - York) en 1969 et aujourd'hui Brian Jones appartient à titre posthume au "Club des 27" qui durant leur courte vie ont connu le firmament.

Brian Jones, Charlie Watts, Mick Jagger

Jerry Lee Lewis, trouble in mind - artetcinemas.over-blog.com

Documentaire réalisé par : Ethan Coen, produit par : Peter Afterman, Stuart M Besser (executive), Steve Bing, T.Bone Burnett, Mick Jagger, Callie Khouri (executive), Ryan Croft (executive), Jim ...

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Paul McCartney, Eyes of the Storm - artetcinemas.over-blog.com

Photographies réalisées par Paul McCartney en 1964, exposées au National Portrait Gallery avec le soutien de Blomberg Philantropies et Bank of America, St Martin's Church Place, London, WC2H OHE...

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Milli Vanilli, du hit à la honte - artetcinemas.over-blog.com

Documentaire, réalisé par : Oliver Schwehm, produit par : Hannah Lenitzki, Mechtild Lehning, Manfred Esser, TVNZ, Bremedia Produktion, Radio Bremen, ARTE, image : Benno Soukup, montage : Ellen ...

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